16 sites web piratés et 617 M. de données privées vendues sur le dark web

Suite au piratage de 16 sites web dont Dubsmash, Armor Games et 500px, 617 millions de données personnelles se retrouvent en vente sur le dark web. Des bases de plusieurs gigaoctets contenant des noms, adresses e-mail et mots de passe ont été constituées.

C’est un vol de données personnelles de très grande ampleur qui vient d’être révélé par The Register. D’après notre confrère britannique, 617 millions de données personnelles ont été mises en vente sur le dark web suite au piratage de 16 sites web. Les sites concernés sont les suivants : Dubsmash (162 millions de données), MyFitnessPal (151 millions), MyHeritage (92 millions), ShareThis (41 millions), HauteLook (28 millions), Animoto (25 millions), EyeEm (22 millions), 8fit (20 millions), Whitepages (18 millions), Fotolog (16 millions), 500px (15 millions), Armor Games (11 millions), BookMate (8 millions), CoffeeMeetsBagel (6 millions), Artsy (1 million) et DataCamp (700 000). En tout, ce vol représente près de 45 gigaoctets d’informations personnelles.

Les données privées ont été regroupées en datasets de plusieurs gigabits et sont en vente sur la place de marché pirate Dream Market. Le tarif proposé pour l’ensemble de ces données volées s’élève à plus de 20 000 dollars, payables en bitcoins. Parmi les informations privées, on trouve des noms d’utilisateurs, des adresses e-mail ou encore des mots de passe hashés ou chiffrés. Ces données auraient été collectées pour la plupart au cours de l’année 2018 mais leur mise en vente a seulement commencé cette semaine. D’après la source de The Register, la base contenant les informations personnelles d’utilisateurs de Dubsmash, un service d’édition de pistes audio, a été achetée par au moins une personne.
Des mots de passe parfois faiblement chiffrés

Attention car dans certains cas le déchiffrement de mots de passe peut être plus facile qu’il n’y parait. « Une personne achetant la prétendue base de données 500 px pourrait décoder les mots de passe les plus faibles de la liste, car certains ont été hachés à l’aide de l’algorithme obsolète MD5, puis essayer d’utiliser des combinaisons d’adresses e-mail et de mots de passe hashés, par exemple pour accéder à des comptes Gmail ou Facebook, où l’adresse e-mail et les mots de passe ont été réutilisés », précise notre confrère. En revanche, aucune donnée bancaire ne se retrouverait dans les datasets constitués par les pirates et mis en vente sur le dark web.

Satya Nadella lève le voile sur un Microsoft 365 pour le grand public

Une solution complète par abonnement

Plus rentables que la vente définitive et permettant de lisser les coûts, les services par abonnement prennent de l’ampleur dans de nombreuses offres. Déjà adepte du système, Microsoft pourrait aller plus loin d’ici quelques mois.

Microsoft se prépare-t-il à forcer le monde entier à passer aux services par abonnement ? Peut-être pas, ou alors pas tout de suite. Mais si l’on en croit les récents propos tenus par le PDG de l’entreprise, un changement de paradigme pourrait bientôt intervenir avec le lancement d’une offre Microsoft 365 dédiée au grand public. Toute la question est alors de savoir en quoi va consister cette fameuse offre. Rappelons que pour l’instant, Microsoft 365 se réserve aux marchés professionnel et éducatif et propose de nombreux services tels qu’Office, Windows 10 et Enterprise Mobility + Security, basant son modèle économique sur un système d’abonnement.

C’est lors d’une conférence de presse tenue dans les locaux de Redmond (siège du géant) que Satya Nadella aurait dévoilé son intention de proposer une suite complète aux clients mainstream. Le dirigeant a affirmé sa volonté de revenir aux sources et au marché grand public après un gros focus donné aux mondes professionnel, scolaire et universitaire. Toutefois, le PDG n’a pas précisé quels services seraient inclus dans ce Microsoft 365 “pour tout le monde”, ni ce qu’il changera par rapport à l’actuel Office 365. D’après certaines sources, tous les détails de l’offre seront révélés lors de la conférence de Microsoft au Mobile World Congress de Barcelone (25-28 février 2019). Plus que quelques semaines à attendre.

Source : MSPowerUser

Windows 10 bloquera bientôt 7 Go d’espace disque pour les mises à jour

Les fichiers temporaires partageront cet espace

Afin de garantir l’installation des mises à jour, Windows 10 intégrera prochainement une fonction de réservation d’espace disque. Dans un premier temps, ce sont 7 Go qui seront bloqués, mais le volume total pourra évoluer en fonction des besoins de l’OS.

À compter de la version 1903 de Windows 10, qui n’est autre que la prochaine version majeure du système d’exploitation, Microsoft ne laissera plus la possibilité aux utilisateurs de remplir intégralement leur espace disque. En effet, pour éviter que des mises à jour (fonctionnelles ou de sécurité) ne demeurent en échec, l’OS se réservera une chasse gardée dont le volume initial sera d’approximativement 7 Go. Pour l’utilisateur, il sera impossible d’y déposer un document. Cet espace ne sera toutefois pas perdu entre les mises à jour : il accueillera également les fichiers temporaires de tout poil (cache système). Dans la mesure où ces fichiers ont sinon tendance à être étalés sur le disque, Microsoft estime que ce regroupement devrait aboutir à un meilleur fonctionnement global des machines.
En pratique, la masse de données temporaires devrait être limitée du fait des fonctions d’élimination automatique de l’OS, mais il n’est techniquement pas exclu que le volume total puisse excéder 7 Go. Dans ce cas, les fichiers temporaires seront traités comme ils l’étaient jusqu’ici, c’est-à-dire stockés là où il y a de la place. En cas de mise à jour, toutefois, le système d’exploitation effacera autant de données temporaires superflues que nécessaire pour garantir le téléchargement et l’installation des fichiers en provenance de Windows Update. Là encore, le nouvel espace dédié sera utilisé en priorité, mais il n’est pas exclu, au besoin, d’utiliser de l’espace de stockage disponible au-delà de cette zone réservée.

7 Go et plus si affinités sur les nouvelles machines

Microsoft indique que le volume réservé sera d’approximativement de 7 Go de base, mais aussi que ces dimensions pourront s’adapter à certains usages. Concrètement, l’installation de fonctions optionnelles de l’OS ou encore l’usage concomitant de plusieurs langues devraient notamment pousser Windows 10 à se réserver un peu plus d’espace disque. Bien sûr, les utilisateurs pourront plonger à tout moment dans les paramètres de l’OS pour savoir combien de gigaoctets sont bloqués pour les mises à jour. Il n’est toutefois pas question, pour le moment, de désactiver cette fonction de réservation d’espace. Sur certains appareils d’entrée de gamme dotés d’une mémoire limitée (32 ou 64 Go), cela pourrait contribuer à une pénurie rapide de l’espace libre.


Bonne nouvelle, cependant, les appareils de ce type qui sont déjà en circulation seront épargnés. En effet, Microsoft, qui teste actuellement sa nouveauté auprès de ses Windows Insiders, n’a l’intention de déployer la réservation d’espace disque qu’en tant que fonction native de la version 1903 de son système d’exploitation. En d’autres termes, seules les machines livrées avec la prochaine mouture majeure de Windows 10 ou celles sur lesquelles cette version aura été installée (clean install) seront concernées. Tous les engins animés par un Windows 10 à la base plus ancienne continueront à fonctionner comme il le faisaient jusqu’ici, avec le risque que l’utilisateur sature le disque et que les mises à jour soient bloquées.

Source : lesnumeriques.com

Attention, des pirates exploitent un bug de Chrome qui plante les ordinateurs sous Windows 10

La méfiance est de mise dans les jours à venir, car des pirates sont parvenus à exploiter une faille sur le navigateur Chrome, afin de dérober vos données bancaires, en faisant planter votre PC sous Windows 10. Explications.

La méthode des pirates pour obtenir vos données bancaires est relativement alambiquée, mais a le mérite de fonctionner. Il convient donc d’être relativement prudent. Ces derniers s’appuient sur une faille du JavaScript et créent ensuite une redirection en boucle vers une URL précise, qui conduit le navigateur à planter.

Un bug de Chrome plante les ordinateurs sous Windows 10

Assez rapidement, il devient impossible de réaliser des actions, comme fermer le navigateur ou fermer l’onglet et peu à peu c’est toutes les ressources du PC qui sont sollicitées, jusqu’au plantage du PC. La RAM est sollicitée à son maximum mais les hackers ont laissé une petite “réserve” pour un processus, qui est en réalité un piège efficace.

En effet, une fenêtre s’ouvre en grimant une fenêtre d’assistance de l’aide de Microsoft, afin de vous indiquer qu’un virus est en train de s’attaquer à votre PC et qu’il est nécessaire d’installer un patch payant pour contrecarrer ce dernier. C’est de cette manière que les hackers espèrent récupérer vos identifiants bancaires pour ensuite hacker votre compte bancaire.

Inutile de vous recommander de ne pas payer, car cela n’arrangera en rien le plantage de votre PC. En revanche, il existe une solution pour enrayer ce processus amenant l’ordinateur à crasher. Il suffit d’aller dans le gestionnaire des tâches, via le raccourci clavier “CTRL + ALT + Suppr“, puis de cliquer sur “Processus” afin de trouver “GoogleChrome.exe“, puis de tuer ce processus en le quittant.

Source : begeek

Windows 10 bientôt intégré à un abonnement avec Office, Cortana et d’autres services

Microsoft réfléchirait sérieusement à lancer une nouvelle offre grand public de Microsoft 365, articulée autour de services tels que Windows 10, Office 365, Cortana, Skype ou encore Outlook Mobile.

Après Microsoft 365 dédié aux professionnels, va-t-on découvrir une version Microsoft 365 adressée au grand public ? C’est toute la question, au regard des dernières informations rassemblées par Mary Jo Foley de Zdnet. Introduit à l’été 2017, et construit sur la base de l’offre Secure Productive Enterprise, le Microsoft 365 que l’on connaît aujourd’hui pourrait vraisemblablement connaître une légère évolution au cours des prochains mois.

Comme l’a repéré le média américain, une offre d’emploi suspecte met la puce à l’oreille : « Product Manager, M365 Consumer Subscription », du nom du poste à pouvoir, intégrera le pôle Subscription Product Marketing, « une nouvelle équipe en cours de création destinée à créer et structurer l’abonnement grand public Microsoft 365», peut-on lire. Difficile de faire plus explicite.

Une offre plus étoffée pour une expérience utilisateur améliorée

Cette nouvelle offre pour les particuliers regrouperait notamment Windows 10, Office 365, Skype, Cortana, le moteur de recherche Bing, Outlook Mobile ou encore des services d’apprentissage de Microsoft Education. Enterprise Mobility + Security, présent dans le Microsoft 365 d’origine et davantage consacré aux professionnels, devrait donc disparaître de ce nouveau package au prix encore inconnu. Microsoft a de son côté refusé de publier le moindre commentaire.

On peut remarquer que les abonnements Xbox Live Gold et Xbox Game Pass ne seraient pas de la partie, puisque l’abonnement serait d’abord destiné à un usage bureautique de ses appareils

Ici, la firme de Redmond chercherait à proposer une expérience utilisateur mieux optimisée et plus complète, au travers d’une nouvelle offre plus étoffée. Un bon moyen de fidéliser des clients et de garantir des sources de revenus pérennes.

Source : frandoid

Orange s’apprête à lancer un assistant vocal en partenariat avec Amazon

Stéphane Richard, PDG d’Orange, répond aux question de Jérôme Colombain.

Qu’allez-vous proposer en matière de maison connectée ?

Stéphane Richard : Grâce à une simple mise à jour logicielle, notre actuelle Livebox (sortie en 2016, NDLR), va se voir dotée de fonctions supplémentaires permettant de piloter toutes sortes d’objets connectés pour la maison (éléments de chauffage Netatmo, caméra Bosch, ampoules Philips, etc…). Nous allons également proposer une offre de sécurité baptisée  » Maison Protégée ».

L’assistant vocal Djingo, présenté l’an dernier, devrait enfin voir le jour…

Stéphane Richard : Djingo sortira en mars. Nous l’avons conçu avec l’opérateur Deutsche Telekom afin d’en faire une véritable alternative aux assistants vocaux américains. Djingo sera disponible sous la forme d’une enceinte connectée, à 49 euros, et il sera également intégré dans d’autres équipements comme notre barre de son Cabasse ou encore la télécommande de la Livebox qui possède un micro.

Pourquoi avoir passé un partenariat avec Amazon pour Djingo ?

Stéphane Richard : Notre enceinte connectée pourra répondre aussi bien au mot-clé « Djingo »qu’au déclencheur « Alexa ». Cependant, les fonctions seront distinctes et il n’y aura aucun partage de données entre les deux services. Aujourd’hui, seuls les assistants d’Amazon et de Google sont capables d’effectuer des requêtes sur le Web à la voix. Notre partenariat avec Alexa relève du « donnant-donnant » car, en échange, les enceintes d’Amazon vont également intégrer l’assistant Djingo en France et en Allemagne.

A noter : cette interview n’est pas la simple transcription de l’interview audio mais le fruit d’un échange direct avec le PDG d’Orange.

Source : franceinfo

Free peut-il vraiment doper votre débit avec sa Freebox Delta ADSL/4G ?

L’opérateur inaugure le premier boîtier hybride ADSL/4G en France. Mais il prend des risques en proposant son offre sur tout le territoire et en promettant un débit allant jusqu’à 200 Mbit/s.

Tous les opérateurs français ont pour obligation de sortir une offre de « 4G fixe » destinée au grand public dans les zones rurales, en vertu du « New deal » signé avec le gouvernement et l’Arcep au mois de janvier dernier.
Tandis que Bouygues Telecom, Orange et SFR ont lancé des box 4G fixe, Free est le dernier à commercialiser sa solution. Il a choisi de se distinguer en proposant pour la première fois en France un module hybride ADSL/4G accompagnant sa toute nouvelle Freebox Delta haut de gamme présentée cette semaine.

  • Quelles restrictions ?

Lors de la conférence de presse de ce mardi 4 décembre, Xavier Niel a affirmé que le débit descendant pourrait monter jusqu’à 200 Mbit/s et le débit montant jusqu’à 60 Mbit/s. Aucune limitation sur le territoire n’est spécifiée, contrairement aux box 4G fixes qui sont réservées aux zones rurales bénéficiant d’une bonne couverture 4G. Les usages ne sont pas non plus contraints. Mais la consommation de data n’est pas illimitée. On trouve en effet la mention de restrictions dans les conditions générales de vente. « En cas de saturation de la cellule (antennes) dont l’abonné dépend, le débit sera réduit jusqu’à la fin de la période de facturation au-delà d’un volume de données de 250Go/mois ». Free ne spécifie pas, en revanche, de combien le débit est réduit lorsque ce seuil a été atteint. Le directeur général d’Iliad Alexis Bidinot nous a aussi confié vouloir d’abord observer ce qui se passe sur le terrain avec les abonnés avant de se décider à fixer éventuellement un fair use.

  • Quelles conditions pour un maximum de débit ?

« Le débit fourni par Free dépendra de la qualité du réseau mobile extérieur, du nombre de personnes connectées et de la capacité de l’opérateur à fournir une bonne couverture indoor à ses abonnés », nous précise Nicolas Men, directeur marketing de Tessares, une société belge qui propose justement une solution hybride ADSL et 4G.
Tous les abonnés en ADSL ne réunissent pas ces conditions optimales et la déception sur les débits obtenus en pratique risque d’être grande, même si l’agrégation de l’ADSL avec la 4G permet de cumuler les deux débits.

  • Quelle technologie ?

Des interrogations subsistent également sur la technologie retenue par Free. Les box hybrides ADSL/4G sont loin d’être une première dans le monde. Souvent, comme en Allemagne avec Deutsch Telekom, les FAI choisissent une solution mise au point par Huawei. La société belge Tessares propose, elle, d’utiliser une évolution standardisée du protocole de transmission internet TCP : le Multipath TCP (MPTCP) qui permet à une session TCP d’être acheminée sur différents réseaux d’accès. Tessares a notamment vendu cette technologie au Pays-Bas, en Belgique et en Finlande. Mais Free a porté son choix ailleurs.

« Nous n’avons pas pour habitude de dévoiler le nom de nos fournisseurs mais je peux vous dire que c’est une solution coréenne qui a déjà été utilisée par des opérateurs américains comme AT&T », nous a confié Sébastien Boutruche, le père de la première Freebox, toujours en activité chez Free où il occupe le poste de responsable R&D. « Nous pensons que nous prenons une longueur d’avance en optant pour cette technologie hybride. C’est la première fois qu’un opérateur la lance à une aussi grande échelle », a-t-il ajouté.

  • Des risques de congestion ?

« Douze pays en Europe utilisent déjà une solution hybride ADSL/4G », nous indique Nicolas Men, directeur marketing de Tessares. Mais aucun pays ne s’est risqué effectivement à un déploiement aussi ambitieux, y compris dans des zones urbaines denses. De plus, les FAI étrangers ne promettent jamais plus de 100 Mbit/s de débit. Free prend-il le risque de saturer son réseau mobile 4G ?

« On n’a pas peur de saturer le réseau parce que c’est créé de manière intelligente. On utilise d’abord l’ADSL, puis après la 4G. Vous pouvez vous retrouver avec 1 Mbit/s en ADSL et 199 Mbit/s en 4G pour aboutir à 200 Mbit/s au total. Il y a moins de risques de saturation que dans une solution toute 4G », s’est défendu Xavier Niel lors du 01netLive spécial de cette semaine consacrée à la Freebox. On attend avec impatience les premiers retours des utilisateurs.

Source : 01net

Microsoft a encore suspendu l’October Update de Windows 10, un pilote Intel en cause

Les semaines se suivent et se ressemblent pour la marque américaine qui est encore forcée de retirer la mise à jour d’octobre 2018 de Windows 10. Le déploiement de cette dernière venait tout juste d’être relancé, mais un nouveau souci s’est manifesté et le processus a dû être stoppé net. De quoi alimenter un peu plus les attaques des détracteurs du système d’exploitation.

Un son qui fonctionne mal sur les moniteurs à cause des pilotes d’affichage Intel

L’October Update 2018 (Version 1809) de Windows 10 est encore une fois au cœur de la polémique. Après un gros bug qui effaçait des fichiers entiers sur les ordinateurs des utilisateurs à cause d’un problème de redirection de ces fichiers, et un autre souci qui supprimait lui aussi des dossiers via un dysfonctionnement du gestionnaire des fichiers ZIP, c’est au tour des pilotes d’affichage Intel Graphics de jouer les troubles fête.
En effet, plusieurs utilisateurs ont relevé des problèmes au niveau du son des moniteurs qui sont connectés à l’ordinateur via USB-C, HDMI ou DisplayPort. Les versions 24.20.100.6344 et 24.20.100.6345 des pilotes sont concernées. Vous pouvez vérifier cela grâce au gestionnaire des périphériques. Ce n’est pas la première fois qu’Intel rencontre des soucis avec cette October Update 2018 puisque les processeurs de la marque avaient eux aussi rencontré des problèmes techniques par le passé.

Des fonctionnalités incompatibles avec Windows 10 se sont activées

Microsoft a tout de même pris la parole pour expliquer travailler avec Intel pour remédier à cela. La multinationale a aussi précisé que : « Intel a sorti par inadvertance des versions de ses pilotes d’affichage […] à des fabricants qui ont activé par accident des fonctionnalités non compatibles avec Windows ».

La marque a donc une nouvelle fois bloqué le déploiement de sa mise à jour en attendant de trouver une solution. Il y a quelques jours, Microsoft avait promis plus de transparence et d’efficacitédurant la mise en ligne de ses updates. Il y a visiblement encore beaucoup de travail.

Source : Clubic.com

La nouvelle mise à jour de Windows 10 «tue» les ordinateurs


D’importants problèmes ont surgi pour les utilisateurs d’ordinateurs sous Windows 10 après l’installation d’une nouvelle mise à jour qui devait aider à combattre celle qui, en raison d’un problème, supprimait des documents. À en juger d’après les témoignages sur le forum de Microsoft, les ordinateurs affichent maintenant l’écran bleu de la mort.

Des utilisateurs d’ordinateurs sous Windows 10 se sont plaints d’importants problèmes qui ont commencé à se manifester après l’installation d’une nouvelle mise à jour. En effet, celle qui a été baptisée KB4464330 devait permettre de combattre la mise à jour supprimant les documents texte, photo et musique. Mais il semble que les bugs s’accumulent, à en croire certains participants au forum de Microsoft.

Ces utilisateurs constatent qu’après l’installation du nouveau Patch, leur ordinateur leur présente l’écran bleu de la mort au démarrage tout en précisant que le système est victime d’une erreur impossible à éliminer.

Le forum indique que le problème concerne de nombreux ordinateurs Hewlett-Packard et propose la marche à suivre: il faut trouver le pilote appelé HpqKbFiltr.sys sur le PC et le supprimer. Toutefois, certains utilisateurs notent que soit ce pilote ne figure pas dans leur système, soit sa suppression ne résout pas vraiment le problème.

Après la découverte de bugs majeurs, le nouveau système d’exploitation Windows 10 continue de faire face à des défis techniques. Ainsi, un programmeur a trouvé récemment le moyen de pirater la protection dont dispose le système d’exploitation contre les ransomwares, des logiciels de rançon.

Les pannes ADSL vont se décupler en France et le réseau cuivre ne cessera de se dégrader selon Orange

A l’heure où le secteur tente de mener à bien le plan THD en accélérant sur le déploiement de la fibre, le bon vieux réseau cuivre traverse une mauvaise passe. Vétuste, pas suffisamment entretenu, victime de vols en série et pas épargné par les conditions climatiques, Orange estime qu’il sera très difficile de maintenir la qualité de ce réseau dans les années à venir et que le nombre de pannes ADSL va augmenter. La solution tiendrait en cinq mots : basculer sur la fibre optique.

Le constat est le suivant, les incidents sur le réseau cuivre de l’ex-France Télécom s’accumulent et cela ne va pas aller en s’améliorant, de plus en plus de français seront impactés à l’avenir sur l’ADSL et la téléphonie fixe, le bricolage effectué par les techniciens ne suffira probablement plus. Lors de son intervention la semaine dernière devant la Commission des affaires économiques, Stéphane Richard est revenu sur ce sujet alarmant. « Il y a eu une dégradation incontestable ces derniers mois », a confié le PDG d’Orange, faisant état d’une série d’orages durant l’été et d’un fléau récurrent, les vols de câbles. « On estime en ce moment qu’il y a 600 000 clients affectés par cela. C’est un vrai fléau » a t-il poursuivi.

Fataliste, le dirigeant argue également que le réseau est vétuste et conséquent. L’essentiel «a été construit entre 1976 et 1978. Aujourd’hui, cela représente 30 millions de paires de cuivre, 21 000 nœuds de raccordement, 1 million de kilomètres d’artères, qui sont pour moitié en souterrain et pour moitié en aérien, et 15 millions de poteaux », a t-il tenu à préciser.

Par conséquent, il serait presque impossible de l’entretenir. Pire encore, « les problèmes de qualité seront de plus en plus importants. Et ce sera un vrai défi pour nous de gérer en parallèle la montée en puissance de la fibre et ses investissements, et en même temps le maintien de la qualité du cuivre », a déclaré le patron d’Orange.

Alors une question se pose naturellement. Orange, délégataire du service universel manque t-il à son rôle qui consiste à permettre un accès de qualité au téléphone et à l’ADSL aux Français ? Le respect de ses engagements a déjà été remis en cause en 2014 par l’Arcep, puis la mission de l’opérateur historique a été renouvelée en décembre dernier. Dans le même temps, le régulateur a demandé au gouvernement de renforcer les indicateurs de qualité des prestations de service universel d’Orange. Mais pour le moment, personne ne semble bouger le petit doigt face à la dégradation du réseau et ce malgré la possibilité d’infliger davantage de sanctions grâce à la loi pour une République numérique.

Comme le rapporte enfin 01Net, Orange disposerait au total de 3 milliards d’euros pour l’entretien du réseau cuivre, soit 1,5 milliard d’euros provenant des abonnements à une ligne téléphonique RTC et le même montant versé par les opérateurs (dégroupage). Pourtant, Stéphane Richard mentionne un budget d’un demi milliard d’euros dédié à la maintenance et la modernisation de son réseau. Alors à qui la faute ?

Source : universfreebox

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